Les machines Ultra Légères Motorisées ont des formes et des performances qui correspondent à leur utilisation et à leur type de construction.
Classe 1 : le paramoteur Classe 2 : le pendulaire Classe 3 : le multiaxe Classe 4 : l’autogire Classe 5 : l’aérostat ultra-léger Classe 6 : l’hélicoptère ultra-léger
Quelques précisions
Le paramoteur (classe 1)
Un ULM paramoteur est un aéronef sustenté par une voilure souple, de type parachute.
Le pendulaire (classe 2)
Un ULM pendulaire est un aéronef sustenté par une voilure rigide sous laquelle est généralement accroché un chariot motorisé.
Le multiaxe (classe 3)
Un ULM multiaxe est un avion ultra-léger.
La masse maximale est inférieure ou égale à 300 kg pour les monoplaces et 450 kg ou 500 kg (nouvelle réglementation) pour les biplaces, masses pouvant êtres augmentées si un parachute est installé. La vitesse de décrochage est inférieure ou égale à 65 km/h.
L’autogire ultraléger (classe 4)
Un autogire ultraléger ressemble à un hélicoptère, mais n’en est pas un….il est propulsé par une hélice généralement placée à l’arrière, et la vitesse ainsi générée entretient le fonctionnement d’un rotor qui permet à la machine de voler.
L’aérostat ultraléger (classe 5)
Un aérostat ultraléger est un ballon ou un dirigeable avec des volumes (relativement) faibles. Le volume de l’enveloppe d’air chaud est inférieur ou égal à 1200 ou 2000 m3, ou le volume de l’enveloppe d’hélium est inférieur ou égal à 400 ou 900 m3, selon la classification.
L’hélicoptère (classe 6)
Les hélicoptères ULM sont de vrais hélicoptères, mais…ultra légers